Les transports en Algérie

Prendre les transports en Algérie est un moyen simple et peu onéreux de voyager dans le pays surtout lorsque l’on cherche à s’installer en Algérie. Le réseau routier algérien est le plus développé d’Afrique, avec des autoroutes et des routes le plus souvent bitumées. Attention, la frontière entre le Maroc et l’Algérie est fermée. Le réseau ferré est particulièrement développé dans le nord du pays. Seule la ville d’Alger est équipée d’un métro. Les taxis restent le moyen le plus pratique pour circuler dans les grandes villes, et il n’est pas très cher, d’autant qu’ils sont parfois collectifs.

Les cars relient les principales villes du nord entre elles, s’arrêtant dans les petits villages. C’est un moyen de transport peu onéreux, mais la flotte d’autocars algériens est assez vétuste.

Le principal aéroport du pays est celui d’Alger, mais la capitale est reliée à d’autres villes de province relativement dévelopées comme Constantine, Annaba, Tlemcen, Oran, Sétif, Batna au Nord, Ghardaïa, Ouargala, ou Tamanrasset au Sud.

Conduire en Algérie

Conduire en Algérie nécessite quelques précautions. En Algérie, on conduit à droite sur la route. Celles-ci sont en relativement bon état mais la conduite est assez risquée car nombreux sont ceux qui ne respectent pas le code de la route ! Il y a de fréquents barrages routiers : il faut impérativement se soumettre aux directives des forces de l’ordre. La prudence s’impose afin d’assurer votre sécurité. Il faut éviter de prendre le volant dans des secteurs isolés dès que la nuit tombe, et ne pas partir seul à la découverte du Sahara…

Pour conduire en Algérie, le permis français peut suffire pour les trois premiers mois (il faut par la suite, respecter la réglementation ou être sorti du territoire avant les 3 mois), mais un permis de conduire international est recommandé, mais insuffisante. L’échange du permis est la règle ! La conduite en Algérie est difficile. La plupart font de la vitesse et ne respectent pas le code de la route, les chiffres effrayants de la mortalité (5000 morts par an) sont edifiants .

Passer son permis de conduire en Algérie peut être financièrement intéressant. Les examens sont sensiblement les mêmes qu’en France. Il faut avoir 6 mois de résidence dans le pays pour s’inscrire aux examens et il faut attendre au minimum 1 mois pour passer le code puis la conduite.

Important : Lors d’un contrôle routier de police, le chauffeur doit respecter scrupuleusement les points suivants :

  • A la vue du barrage, ralentir, si c’est le soir, éteindre les phares et allumer le plafonnier
  • Garder les mains en évidence sur le volant,
  • Ne pas effectuer de gestes brusques dans le véhicule,
  • Arrêter et attendre que l’on vous fasse signe de passer.
  • En cas de contrôle, se garer à l’endroit indiqué par les forces de police, présenter ses papiers et rester calme et courtois
  • En cas d’infraction au code de la route (téléphoner en conduisant, défaut du port de la ceinture…), accepter le PV sans énervement.

Se déplacer dans Alger

La ville d’Alger est rythmée par une circulation très dense. Il est difficile de se promener à pied tout simplement pour aller d’un point à un autre car il y a très peu de trottoirs et la circulation est très intense. Dans certains quartiers il y a une volonté d’aménager les abords des routes et des rues et l’on commence à apprécier ces nouvelles installations. Il faut cependant rester vigilant notamment sur l’autoroute.

TAXIS :

El Feth Radio Taxis : 021 68 90 90

City Taxi El Biar – 021 79 01 28

Chouchou taxi  (femme chauffeur de taxi)  La contacter via sa page Face Book Taxi Chouchou Alger.

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